Nacho Carretero (La Corogne, 1981) apprit de son expérience comme serveur de fast food qu'il ne voulait pas être serveur de fast food. Il se mit à l'écriture, donc. Il débuta par des rédactions puis il fuga pour devenir freelance. C'est alors qu'il commença à publier dans tout média de presse à sa portée depuis Jotdown au XL Semanal en passant par Gatopardo, El Mundo ou El Español. Il a écrit sur le génocide du Rwanda, sur le virus Ebola en Afrique, sur la Syrie, sur sa tante Chus et même sur son club de foot préféré, le Deportivo de La Coruña. Actuellement il est reporter pour El País. Raconter l'histoire des traficants de stupéfiants galiciens était un rêve journalistique qui obsédait son cerveau depuis tout petit.