Elle a une licence en Philologie Anglo-germanique, un diplôme en Etudes des Sciences Religieuses (sic) et une licence en Théologie. Elle habite à Séville avec son mari et ses quatre enfants. Chez Ediciones Mensajero elle a publié son roman "La cara oculta de Pedro".

María Neila Martín est compositrice de musique et écrivaine. EN JANVIER 2016, ELLE A PUBLIÉ SON PREMIER ROMAN, "ABUELO TOMÁS", QUI A ÉTÉ SÉLECTIONNÉ COMME L'UN DES TROIS FINALISTES DANS LA CATÉGORIE MEILLEUR ROMAN DES PRIX CÍRCULO ROJO 2016.

Je suis née à Caceres en 1984. J'ai étudié les Beaux-Arts à Salamanque. J'ai essayé de me présenter à des concours pour avoir un travail normal, mais j'ai jeté l'éponge. J'ai décidé de m'installer à Madrid, où j'ai créé Crispis, un studio de musique et d'illustration, avec quelques amis.

María Rubio (Saragosse, 1987) est scénariste et écrivaine. Elle a étudié la publicité et les relations publiques, et son travail dans le secteur de la publicité lui a valu plusieurs prix. Mais, à n'en point douter, ce qu'elle aime le plus, c'est écrire de l'humour.

Maria Tena (Madrid, 1953) a passé son enfance à Dublin et à Montevideo. Elle est diplômée en Philosophie et en Lettres, dans la spécialité de Littérature hispanique, ainsi qu'en Droit.

L'illustratrice Mariam Ben-Arab est née à la Roca del Vallès, près de Barcelone en 1983. Encore très petite, elle prit son crayon et ne l'a pas lâché depuis. Elle fit des études de Beaux Arts à l'université de Barcelone et se spécialisa en illustration à l'Escola Llotja.

Mariano Peyrou (Buenos Aires, 1971) vit à Madrid depuis 1976. Poète et conteur espagnol en langue castillane, il est aussi musicien et diplômé en anthropologie sociale. Il a vécu à la Résidence des Etudiants avec une bourse de création artistique.

Mariano Quirós (Resistencia, province de Chaco, Argentine, 1979) est l'auteur des romans "Robles" (Premier Prix de la Biennale CFI), "Torrente" (Prix du Festival Ibéro-américain du Nouveau Récit), "Río negro" (Prix Laura Palmer no ha muerto), "Tanto correr" (Prix Francisco Casavella) et "No llore