A LA FRONTIÈRE, LA SEULE LOI EST CELLE DU FER. On l'appelait Fierro. Il vivait dans un endroit retiré et solitaire, à la frontière, cet endroit maudit où Maures et Chrétiens semaient la mort à leur gré.
Le roman qui vous tenez entre vos mains est de ceux dont on se souvient, aussi bien pour la révolte que l'on éprouve face à l'humiliation et la décrépitude que pour la transparence du langage dans lequel il est écrit.
Le roman qui vous tenez entre vos mains est de ceux dont on se souvient, aussi bien pour la révolte que l'on éprouve face à l'humiliation et la décrépitude que pour la transparence du langage dans lequel il est écrit.